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- 04/11/2024
L’année touche à sa fin. Découvrez l’avantage fiscal que vous offre une pension complémentaire. Et pourquoi il est préférable de mettre de côté le montant maximum autorisé par la loi pour maximiser votre avantage fiscal. Découvrez aussi comment vous protéger financièrement, vous et votre famille, en cas d’incapacité de travail pour cause de maladie et/ou d’accident, grâce au revenu garanti assuré via la pension complémentaire.
Vu le montant limité de la pension légale pour indépendants, vous avez intérêt à épargner pour plus tard via une Pension Libre Complémentaire pour Indépendants (PLCI), une assurance épargne de la branche 21 d’AG.
Mais comment le faire en optimisant son impact fiscal ? En choisissant une prime équivalente tant que possible au montant légal maximum. Chaque année, vous pouvez verser jusqu’à 8,17 % de votre revenu professionnel net imposable indexé d’il y a 3 ans (le revenu de référence), avec un plafond absolu de 3.965,77 € pour 2024.
Votre revenu de référence est mentionné sur le 1er décompte trimestriel des cotisations sociales provisoires de votre caisse d’assurances sociales.
Pour les starters, le revenu de référence est celui sur la base duquel leurs cotisations sociales provisoires sont calculées.
Vous optez pour une PLCI sociale incluant des couvertures supplémentaires ? Dans ce cas, ce maximum absolu est encore plus élevé : 9,40% de votre revenu de référence, avec un maximum 4.562,82 € pour 2024.
Vous n’avez pas encore versé la prime maximale ? Vous avez encore jusqu’à la fin de l’année pour verser un montant complémentaire pour atteindre ce plafond. Vous maximiserez ainsi votre avantage fiscal.
Et ce supplément peut avoir un impact important. En effet, en versant une cotisation PLCI légèrement plus élevée, vous vous constituez un capital pension complémentaire nettement plus élevé pour plus tard – et vous payez dès maintenant moins d’impôts. Vous êtes donc doublement gagnant.
Et en optant aussi le plus tôt possible pour une PLCI, vous créerez aussi un effet boule de neige. La prime rapporte en effet des intérêts et une éventuelle participation bénéficiaire, et l’année suivante, cette prime complète génère à nouveau des intérêts et une éventuelle participation bénéficiaire.
Expliquons cela à l’aide d’un exemple.
Jean a 40 ans et verse un montant fixe annuel de 2.000 € dans sa PLCI. Son revenu de référence s’élève à 35.000 €. Il pourrait verser 2.859,50 € cette année (8,17 % de 35.000 €). Il passe donc chaque année à côté d’un avantage fiscal et parafiscal (moins de cotisations sociales).
Jean choisit de verser 859,50 € en plus ? Et donc de verser chaque année le montant maximum au lieu de la somme forfaitaire de 2.000 € ? Dans ce cas, le montant total qu’il va épargner sera nettement plus élevé.
Prime 2.000 € |
Prime fiscale max. 2.859,5 € (8,17 % de 35.000 €) |
Jean (40 ans) continue de verser 2.000 € par an jusqu’à sa pension à 67 ans |
Jean (40 ans) paie 859,50 € en plus pour atteindre son maximum fiscal cette année (=2.859,50 €) et verser chaque année 8,17% de son revenu de référence à partir de l’année prochaine jusqu’à ses 67 ans |
Capital pension à 67 ans (sans participation bénéficiaire) : 65.660,76 € |
Capital pension à 67 ans (sans participation bénéficiaire) : 93.878,43 € |
À un taux de base de 2% et avec une participation bénéficiaire nette de 0,55%, Jean aura épargné un montant brut de 71.135,92 € à 67 ans. |
À un taux de base de 2% et avec une participation bénéficiaire nette de 0,55%, Jean aura épargné un montant brut de 101.706,59 € à 67 ans. |
*Dans l’exemple, des frais d’entrée maximum de 6% sont appliqués.
En outre, Jean bénéficie d’un avantage fiscal et parafiscal plus important (moins de cotisations sociales) puisque sa prime est plus élevée.
Prime |
2.000 € |
2.859,50 € (8,17%) |
Gain annuel sur les cotisations sociales (20,50%) |
-410 € |
-586,19 € |
Déduction d’impôt (42,80%) dont 7% de taxe communale |
-680,52 € |
-972,97 € |
Coût réel de la prime |
909,48 € |
1.300,34 € |
Le coût réel du supplément de prime de 859,50 € ne s’élève donc en réalité qu’à 390,86 € grâce à la déductibilité fiscale et à l’avantage sur les cotisations sociales.
Le supplément réel de la prime annuelle (augmentation de 390,86 €) versé pendant 27 ans augmente donc le capital pension final de 30.570,67 €.
Il est donc vraiment intéressant pour vous d’épargner chaque année pour votre PLCI le montant maximal d’un point de vue fiscal.
Vous pouvez aussi très facilement fixer le montant de votre prime en pourcentage de vos revenus (max. 8,17%), pour que votre prime soit automatiquement adaptée chaque année à votre situation.
En effet, AG reçoit chaque année votre revenu de référence via l’autorité publique Sigedis et adapte alors automatiquement votre prime à ce nouveau revenu de référence.
Vos revenus augmentent ? Dans ce cas, la prime de votre PLCI va aussi augmenter.
Vous gagnez moins pendant une année ? Dans ce cas, le plafond du maximum fiscalement déductible pour votre prime va aussi diminuer.
Vous optez pour le principe d’une prime équivalente à 8,17% de vos revenus ? Dans ce cas, vous bénéficiez automatiquement de l’avantage fiscal optimisé chaque année.
L’optimalisation fiscale expliquée ici est l’un des avantages majeurs de la PLCI. Mais vous pouvez aussi ajouter à votre pension complémentaire une garantie supplémentaire « incapacité de travail ».
Vous ne pouvez pas travailler en raison d’une maladie ou d’un accident ? Pour vous qui êtes indépendant·e, cela se traduit de suite par une perte de revenus. Les allocations de votre mutuelle, auxquelles vous avez droit à partir du 8e jour de l’incapacité de travail, ne suffisent souvent pas à préserver votre niveau de vie.
Une couche de protection en plus de vos revenus est donc tout sauf du luxe. Et vous n’avez pas besoin de souscrire une police « revenu garanti » distincte : il vous suffit d’ajouter une garantie optionnelle à votre contrat PLCI.
Vous pouvez compter sur un revenu de remplacement mensuel en plus de l’allocation légale de votre mutuelle pendant votre incapacité de travail, un revenu de remplacement qui prend effet dès que le délai de carence ou la durée minimale choisie est écoulée.
Vous pouvez aussi prévoir la couverture du remboursement de votre prime PLCI pendant votre incapacité de travail, y compris pour les primes de vos garanties complémentaires.
La combinaison des deux est bien sûr aussi possible. Vous continuez ainsi à épargner pour votre pension tout en étant bien protégé·e.
En résumé : avec la garantie complémentaire couvrant l’incapacité de travail, votre contrat est non seulement optimisé d’un point de vue fiscal, mais vous bénéficiez aussi d’une protection optimale en tant qu’entrepreneur·e.
1. Découvrez les avantages de la pension complémentaire pour indépendants.
2. Découvrez aussi en détail la PLCI et la garantie complémentaire en cas d’incapacité de travail.
3. Prenez rendez-vous avec un conseiller pour optimiser votre pension.
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